Coucou tout le monde !
Cette année, pour la première fois, j’ai participé au Nanowrimo, voici mon retour d’expérience.
Le nano, késako ? Il s’agit d’un challenge d’écriture qui dure tout le mois de novembre. En gros, on a un mois pour écrire une histoire de 50 000 mots.
Si vous avez lu Amalia ou même mes deux nouvelles, vous savez déjà que je suis une adepte des textes courts, et c’est d’ailleurs ce qu’on me reproche en général : vous n’en avez pas assez !
C’était donc un super challenge pour moi : il m’oblige à écrire une histoire plus grosse et rapidement.
Aidée par le confinement et le télétravail qui m’ont permis de dégager deux heures pour écrire tous les matins… et encore plus de temps le weekend, je suis venue à bout de ce challenge (pour être honnête, sans cela je n’aurais pas réussi).
Pour l’histoire, une nouvelle aventure me trottait dans la tête depuis septembre et j’ai pris le temps de suivre les étapes de préparation conseillés par le nano. Habituellement, je commence à écrire avec un sentiment d’écriture, une scène au maximum, jamais avec des personnages aussi travaillés, une histoire aussi approfondie et encore moins un plan, mais j’ai joué le jeu et j’ai vraiment le sentiment d’avoir grandement appris de cette expérience !
Mais je suis une fusée sur mes premiers jets. La phase d’écriture a donc été très rapide et en quinze jours, j’avais terminé la phase d’écriture. Gros problème : je n’avais que 36 000 mots !
Vous me direz que j’aurais pu m’en contenter… mais non ! Si j’avais décidé de faire ce challenge c’était en effet pour écrire une nouvelle histoire (un one-shot qui se déroule sur Tshiik comme pour La Laïsha, mais aussi un peu sur Terre dans le futur), mais surtout pour me pousser à m’améliorer sur un axe que vous êtes plusieurs à pointer : la longueur de mes textes !
J’ai donc commencé une réécriture et à la fin du mois de novembre, j’avais réussi le challenge. Mais ma réécriture m’a même amenée jusqu’à mi-décembre et un peu plus de 55 000 mots !
Même si c’est déjà une belle prouesse (à titre de comparaison Amalia ne fait « que » 18 000 mots), je compte bien continuer à l’étoffer pour vous faire rêver encore plus, et vous permettre d’en découvrir plus sur mon univers, d’autant plus que ce sera un one-shot et que je ne peux pas me permettre, comme sur une série que je vais étoffer et enrichir au fur et à mesure des tomes, de vous laisser frustré par votre lecture.
Actuellement, ce texte, qui vous fera découvrir comment la monnaie de Tshiik est récoltée, est en lecture découverte chez ma meilleure lectrice : ma mère, pour qu’elle me dise si mon histoire est intéressante ou pas, et surtout tout ce que j’ai à retravailler.
Bonne journée !
Aujourd’hui, je débute une série d’articles axés sur mon quotidien, mes choix d’auteure et autres aventures. Dites-moi en commentaire si vous aimez et surtout si vous souhaitez que je parle d’un sujet en particulier.
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